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  • Les mythes sur les start-up françaises qui se lancent aux USA

    Les mythes sur les start-up françaises qui se lancent aux USA

    Voilà ce qu’on entend lorsque le sujet du déploiement d’une start-up Européenne aux USA est abordé :


    « Lancer sa start-up aux USA ? Oui, c’est super dur, y’a une énorme concurrence, ça coûte cher et faut dépenser à mort en marketing. »

    Sauf que …

    Sauf que la réalité est bien plus complexe.

    Oubliez la concurrence, oubliez les dépenses et oubliez le marketing : ces 3 points, qui reviennent pourtant souvent lorsque le sujet de se lancer aux USA est abordé, sont la base, le niveau 1, le minimum.
    Alors oui, parfois, souvent, tous les jours, vous vous demanderez dans quoi vous vous êtes embarqué. Le challenge est trop intense et les obstacles inédits.

    Aujourd’hui, à l’heure où nous considérons avoir, enfin, craqué le code du marché USA, à l’heure où sort le livre « Lancer sa start-up aux Etats-Unis » de Patricia Carrera, et, à l’heure où, enfin, notre logiciel est reconnu par de grands acteurs US comme Amazon USA et Shopify, je pense qu’il est temps de partager avec vous notre expérience.

    L’expérience d’une start-up française qui s’est imposée sur le marché USA en utilisant ses propres codes, n’écoutant aucun mythe, aucun conseil, aucun expert, et encore moins les moi-je-sais-je-vais-t’expliquer-parce-que-je-sais-mieux-que-toi-j-ai-lu-ça-sur-le-Journal-du-Net-French-Web-Lemonde.fr.

    Bonne lecture.

     

    Les mythes sur les start-up françaises qui se lancent aux USA

    Le pays fait rêver, attire et vous appelle de son énergie. Énergie qu’il imprime à sa volonté : le dollar.
    «Le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème.» répliqua Conally à l’Europe. Cruellement vrai.

    Nous allons donc vous raconter ici notre expérience. Elle ne sera pas la même pour d’autres entrepreneurs français, c’est certain.
    Mais j’en rencontre tous les mois ici, et cela depuis plus de 2 ans. Et, souvent, leur conclusion est la même : on ne peut pas comprendre les challenges de lancer sa start-up française aux USA sans tenter le tout pour le tout. Le « ça passe ou ça casse« .
    Et n’espérez pas que « ça passe ou ça casse » signifie y mettre tout votre argent. Ça serait beaucoup trop simple. « Ça passe ou ça casse » signifie prendre le risque de tout perdre.

    Ainsi, voici selon moi les 7 mythes qui entourent le sujet des start-up françaises qui se tentent de conquérir le marché américain.

     

    Mythe numéro 1 : « Il faut d’abord prouver son modèle en Europe, puis attaquer les Etats-Unis. »

    J’ai effectivement entendu cela venant d’investisseurs bien installés sur la place de Paris.

    « Nous n’investirons pas dans votre boite si vous vous lancez aux USA avant de nous avoir prouvé que vous pouviez dupliquer votre modèle en Europe dans un premier temps« .

    Ici, je ne vais pas jouer la carte du « j’avais-raison-heureusement-que-je-n’ai-pas-écouté-les-business-angel-ces-gens-là-ne-savent-pas-de-quoi-ils-parlent« , … car je comprends sincèrement les raisons pour lesquelles ils pensent cela. Vous développer aux USA va clairement mettre en danger votre boite et votre équipe en France. Le « ça passe ou ça casse » dont je parlais en introduction.

    Et, quand on y réfléchit, prouver que son modèle est exportable dans les pays européens avoisinants avant de faire le grand saut, semble une méthode cohérente, n’est-ce pas ?
    Oui.
    Mais c’est ne pas prendre en compte une donnée qui est le cauchemar des start-up. Une donnée qui a coulé MySpace, une donnée qui empêche Yahoo! de se transformer, une donnée qui aurait pu tuer Facebook lors de leur mutation d’une entreprise « desktop-first » en une entreprise « mobile-first« .

    Une donnée qui a le don de monter les associés les uns contre les autres.
    Une donnée qui frustre vos commerciaux, agace vos partenaires, et démotive vos chargés de clientèle.
    Une donnée qui vous fait dire non à vos clients, alors que vous rêvez de pouvoir dire oui.
    Une donnée qui est là, et qui, plus elle vieillit, plus elle devient puissante.

    « Quelle est cette donnée ? » vous demandez-vous.

    Cette donnée c’est… la dette technique.

    Oui… Je sais.. J’entends les CEO et CTO de France et Navarre : « Putain, cette putain de dette technique ! Merde …! Quoi, qu’est-ce qu’elle vient faire aussi là elle ??? » …
    Je sais. On la hait tous…
    Mais oui. Hélas. Vous lancer aux USA va vous demander de revoir votre logiciel de A à Z. Peu importe quel est votre logiciel à date et peu importe si vous aviez recruté des As du développement pour créer votre logiciel : il va vous falloir recommencer à zéro. Dans le logiciel, ce sont les USA qui imposent leurs règles. Et leurs règles sont impossibles à anticiper.

    « Le logiciel est notre invention, mais c’est votre dette technique.« , si on voulait paraphraser Conally.

    La solution ? Vous lancer le plus tôt possible aux USA. N’essayez pas de prouver votre modèle en Europe. Vous ne ferez qu’agrandir votre dette technique.

    Les start-up françaises qui réussissent aux US, sont celles qui se lancent dans une refonte complète du logiciel : de l’ergonomie, du codes et de ces principales fonctionnalités, dont certains impacteront le cœur même du logiciel.

    Et il faudra aller vite car, à la différence de l’Europe où un marché peut se partager entre plusieurs acteurs, aux USA seul le meilleur gagne.

    Votre dette technique est là. Elle est déjà là. N’attendez pas qu’elle grossisse encore. Si vous avez dans vos plans de vous lancer en Europe cette année, alors lancez-vous à la place aux USA.

    Cela nous fait la transition vers le second mythe.

     

    Mythe n°2 On peut gérer le bureau USA depuis la France.

    Nous sommes en 2016, et tout le monde a maintenant bien compris que se développer aux USA sans y ouvrir un bureau sur place, et sans y recruter des profils séniors, ne laissera aucune chance de succès. Ok. Bien. Vous êtes au niveau 1.

    Niveau 2 ? Y déménager en tant que fondateur.

    Combien de fondateurs sautent le pas de lâcher tout ce qu’ils possèdent en France pour repartir de zéro aux USA ? Peu.
    Il faut aimer recommencer de zéro, il faut avoir cela dans le sang. Redémarrer avec une petite équipe, redémarrer dans un pays inconnu, redémarrer dans un petit bureau, redémarrer avec tous ses doutes. Et je ne parle même pas de la partie vie personnelle.

    Mais pourquoi, me direz-vous, avoir au-moins un des fondateurs sur place est-il indispensable, puisque le bureau USA recrutera de toutes façons au moins un sénior/manager/décisionnaire ? Ne pourrait-il pas gérer le bureau USA et nous faire un bilan chaque fin de mois ?

    La réponse vous l’avez devinée, est non. Pourquoi cela ? Justement à cause du mythe n°1 : vous avez une énorme dette technique (que vous l’acceptiez ou pas, c’est le cas, et ne pas l’accepter ou ne pas s’en rendre compte est la cause n°1 d’échec).

    Or, cette dette technique, la France ne pourra pas la comprendre, et cela est logique. Vous avez déjà 1.000 clients (en France), vous générez 1 million de CA (en France), le savoir-faire est en France, et c’est la France, encore elle, qui ouvre son porte-monnaie tous les mois pour payer les salaire des employés américains.
    Sauf que … vous avez quand même un logiciel à recoder. Point. C’est comme ça.

    Ainsi, si vous n’avez pas un des fondateurs (si possible celui avec la « grande gueule« ….) sur place pour expliquer, argumenter, pour, parfois, devoir imposer ces changements indispensables pour espérer ne serait-ce que survivre aux USA, comment voulez-vous que les choses avancent dans le sens du bureau US ? Un sénior américain, bien qu’indispensable, n’aura pas la légitimité, le poids « politique » interne, ni même la patience, tout simplement, pour imposer à une équipe plus légitime que lui les indispensables changements nécessaires.

    Nous sommes même aller très loin, car un matin, alors que j’ouvrais mes emails, je lis celui d’un de mes 2 co-fondateurs : « Clément (l’autre co-fondateur) a pris l’avion, il arrive dans 6 heures à l’aéroport. Vous avez 2 semaines pour le convaincre de la pertinence de recoder le logiciel. Sinon, on arrête les USA. Tu peux l’héberger ? »

    Nous avions un seul employé sur le marché USA à l’époque. Andy, notre « US Market Director« . Quand je lui ai annoncé la nouvelle une fois arrivé au bureau, j’ai vu de l’inquiétude, de l’espoir et du soulagement dans ses yeux. Tout cela à la fois.

    Moi ? Je savais qu’on allait rentrer dans une nouvelle dynamique. La clef finale de notre succès volait en ce moment-même au-dessus de l’Atlantique, il ne me restait plus qu’à trouver un bon lit gonflable, car … les deux prochaines semaines allaient dessiner notre avenir sur le marché américain. (mais où-est-ce qu’on achète un matelas gonflable à New York ?… Hum… Aucune idée….).

    Si vous n’envoyez pas une grande partie de l’ADN aux USA, ADN qui en plus sera capable de repartir de zéro, le succès sera impossible.

    Comme le dit le fondateur de SongPop : « conquérir le marché américain ne marche que quand un des co-fondateur est sur place. » (même source, le livre de Patricia Carreras).

    Je rencontre beaucoup de français aux US, et lorsque les langues se délient un peu, ils me disent tous « Je sais, mais la France ne veut pas, et je ne sais pas comment leur expliquer. »

    Je suis passé par les mêmes conflits. Exactement les mêmes.

     

    Mythe n°3 : « Il suffit d’être d’accord avec ses associés. »

    Comme je le disais plus haut, c’est l’équipe française qui dans les faits est la plus qualifiée pour décider des futurs développements du logiciel. Or, nous avons besoin d’américaniser le logiciel. Les véritables codes logiciels se décident aux USA, ils ne s’adapteront pas à vous. C’est ainsi.

    Pour y remédier, j’ai eu ma propre méthode. Pas la meilleure, même si elle a fonctionné. Mais cette méthode est peu… disons … très peu démocratique et très court-termiste …

    En fait, j’ai même été légèrement embarrassé lorsque je l’ai expliquée à Patricia Carreras dans son nouveau livre (page 218) « Lancer sa start-up aux Etats-Unis »
    Vous trouverez donc dans cette interview une explication des différentes phases par lesquelles nous sommes passées et une explication de cette fameuse méthode « très-peu-démocratique-et-très-court-termiste-mais-qui-fonctionne » … Parfois, je me dis même que c’est la seule méthode possible au début du lancement sur le marché USA. Je peux me tromper, bien évidement. Je conclue d’ailleurs l’interview en ouvrant le débat : « les méthodes pour lancer sa start-up aux USA sont en train de s’écrire afin d’aider les prochaines générations de startupers français et européens à se lancer aux US. »

     

    Mythe n°4 : « les USA adorent les start-up françaises ! »

    Ok, donc désolé d’avance, mais non. Ils adorent les développeurs français, oui. Mais ce n’est pas pareil. Pourquoi ? Tout simplement parce que telle est la réalité de ce qu’ils constatent : des start-up françaises qui se plantent aux USA (on est dans l’ordre du 80% à mon avis), mais, à l’opposé, des français qui s’éclatent à travailler chez Google, Facebook, LinkedIn quand ils sont développeurs, ou Pixar et Disney quand il sont graphistes. Voilà la cruelle réalité. Les américains sont pragmatiques.
    Je vois trop d’entrepreneurs français mettre à tort en avant leurs diplômes de développeurs et leur succès sur le sol français. Oui, vous allez intéresser beaucoup de gens, prêt à vous proposer un salaire de 200k$ pour vous recruter. Mais votre logiciel ? non. Pas intéressant, car pas américain.

    Ainsi, notre stratégie a été claire depuis le Jour 1 : nous sommes une boite américaine. Point. Terminé. Même si nos status disent l’inverse, que 98% de notre CA est généré hors des US, et que 98% de notre team est en France. Peu importe. D’ailleurs, sur la version américaine de notre site web, il n’est fait mention nulle part de notre bureau France.

    « Fake it until you make it! » (Bill Gates).

    Et ce n’est pas tout : il vous faudra aussi vous renseigner sur le match de basketball de la veille et être capable d’avoir un avis très tranché sur qui aurait dû gagner. C’est ainsi que démarrent les conversations ici. Le fameux « small talk » typique des américains.

     

    Mythe n°5 : « Pour réussir aux USA, il faut se construire un réseau. »

    Cette affirmation est en partie vraie, mais pas tout à fait dans le sens où on l’entend. Oui, vous allez avoir besoin d’un réseau.

    Mais les deux premières années vont être tout autre chose que juste les rencontres et les dej’ entre PDG. Pourquoi ? Parce que vous avez un logiciel à reprendre de zéro. Et si vous relisez les mythes n°1 et 2, vous comprendrez qu’un gros chantier vous attend.

    Tant que votre logiciel ne s’est pas américanisé, qui donc voulez-vous intéresser pour un dej’ ? Les américains sont des gens qui valorisent leur temps, donc commencez à les rencontrer quand vous êtes vraiment en place et que la traction a commencé.

    Ainsi, pour revenir sur notre propre expérience, nos deux premières années ont été consacrées au logiciel. Rien d’autre. Nous avons passé 10h/jour pendant 2 ans à travailler avec notre équipe la tête dans notre ordinateur.

    Durant ces 2 années, mon co-fondateur CTO venait régulièrement passer 1 mois aux bureaux USA, et nous ne faisions que bosser. Nous étions redevenus une micro-start-up avec ses joies, ses challenges et ses nuits courtes.

    Une fois que votre produit sera prêt pour attaquer le marché US et que vous serez venu à bout de cette fichue dette technique, commencez à construire votre réseau.

    « Don’t expect anything from anybody, work hard and put your head down! » (Deborah Meaden)

     

    Mythe n°6 : « Le risque vient de la concurrence, qui est trop forte. »

    Qu’on ne s’y trompe pas : oui, la concurrence est violente aux USA. Vos concurrents veulent votre peau. C’est tout. Ce sont leurs règles. Et, entre le débauchage à prix d’or, et leurs commerciaux qui appellent chacun de vos clients qui laissent un testimonial sur le web, ils ont les moyens des les appliquer, leurs règles. Ils voudront vous tuer. Point. Vous êtes un moustique pour eux.

    Mais le souci n’est pas là. Car s’ils sont capables de vous tuer, c’est parce que vous avez laissé une porte ouverte. Ne laissez aucune porte ouverte à la concurrence.
    Comment procéder ?

    Voici ce que nous avons fait :

    1. Comme on ne pouvait pas retenir nos employés en nous alignant sur ces salaires astronomiques, nous avons offert ce qu’une entreprise USA ne pouvait pas offrir : 5 semaines de congés payés par an. Aucune société US ne peut proposer cela sans désorganiser l’ensemble de ses process internes. Or, pour nous, il s’agissait au contraire déjà de notre organisation. Ces 5 semaines de congés payées peuvent vous faire retenir de véritables pointures américaines au sein de votre équipe.
    2. Concernant les clients qui se faisaient démarcher ? Là, c’est plus compliqué. Va falloir avoir votre tête dans vos écrans d’ordinateur encore un peu. Car, pour retenir vos clients, il n’existe qu’une solution : être meilleur et moins chers. Terminé.
      Dure réalité….
      Dure, sachant que, lorsque vous arriverez sur le marché USA, vous remarquerez que des concurrents il en arrive en fait du monde entier. J’avais, bien sûr, repéré les concurrents US avant de nous lancer sur ce marché, oui. Mais quid de ce concurrent UK ou Australien ? (qui, soit dit en passant, vous découvre lui aussi …).
      Et ce concurrent indien, qui casse les prix ? … Ouch …
      Il en arrive du monde entier.

     

    Alors qui de tous ces concurrents réussira ? C’est quoi être meilleur ?

    Et bien, justement, nous en revenons à l’ensemble des mythes précédents :

    • Se lancer tôt, pour réduire au maximum la dette technique (qui est forcément bien plus grande que ce que vous croyez). Si nous partons du postulat que votre logiciel n’est pas adapté au marché US, alors face à tous ces concurrents, il va falloir que vous vous adaptiez le plus vite possible à ce qu’est vraiment la demande américaine.
    •  Avoir un des fondateurs sur place. Il est la meilleure personne pour faire face aux attaques de la concurrence, qui de toutes façons seront violentes. Qui d’autre que le fondateur pourrait prendre la décision de 5 semaines de vacances pour les employés US, ou, encore plus complexe, de recommencer le logiciel depuis presque zéro ?
    • Sentir le bon moment pour lancer la constitution de son réseau : ni trop tôt, ni trop tard. Le PDG est la meilleure personne pour représenter la boite, mais les premières années seront loin de tourner autour de petits fours et coupes de Champagne.

     

    Mythe n°7 : « Il faut lever des fonds pour se lancer aux USA. »

    Je vais avoir un avis moins tranché sur ce point. Si nous avons réussi à nous imposer sur le marché américain sans lever de fonds, il est évident qu’on n’est jamais assez riche pour conquérir ce continent.
    Cependant, nous avons réussi sans faire de levée, donc c’est possible.

    Ne pas lever de fonds c’est, certes, avoir moins d’argent disponible, mais pas forcément moins de moyens disponibles.

    Or, nous avons bénéficié d’une abondance de moyens pour nous développer sur le marché US : l’intelligence et l’adaptabilité de ma team.

    Il y a même un avantage à ne pas lever de fonds : nous avons pu appliquer nos propres méthodes, méthodes qui n’étaient pas conventionnelles. Méthodes conventionnelles qui plantent dans 80% des cas depuis des annèes, mais que, étonnamment, personne ne pense à remettre en question. S’il fallait décrire ces méthodes conventionnelles, elles tournent en général autour de : recruter des commerciaux, faire du Adwords et créer du contenu sur un blog, et non pas « refaire le logiciel de A à Z« , comme nous l’avons fait.

    Je précise que je suis conscient que les méthodes conventionnelles auront la dent dure encore longtemps. Je ne me fais aucune illusion.

     

    EN CONCLUSION

    Oui, c’est très dur de déployer sa start-up française aux USA.

    C’est très dur, très décourageant, rageant et fatiguant. Alors oui, on aimerait bien croire au mythe qui dit qu’il faut beaucoup d’argent et de marketing. Ça serait tellement simple par rapport à la réalité.

    Le SAAS est l’invention des américains, mais notre dette technique. Ils ne s’adapteront pas à votre logiciel, et, en plus, vous demanderont d’être le meilleur.

    C’est la dure réalité.

    J’espère vous avoir donné une autre vision des challenges qui vous attendent, car, oui, in fine, je conseille à toutes les start-ups de se lancer dans la conquête du marché américain. C’est dans cet objectif que j’ai écris cet article, même si, parce qu’il en montre la réalité, il peut sembler faire passer le message opposé.
    Tout en faisant attention à ces 7 mythes, j’incite effectivement toutes les start-up à se lancer sur le marché américain, oui.

    Car s’il ne devait rester qu’un seul mythe auquel croire. Un seul mythe auquel croire encore et toujours.
    Un mythe qui pousse chaque jour des millions d’hommes et de femmes à donner le maximum d’eux-mêmes.
    Un mythe vieux de plus de 200 ans et devenu presque un style littéraire à lui tout seul.
    Un myhe que nous avons tous au fond de nous. Quelque part. Il est là.
    Qui ressurgit un Samedi soir au cinéma, face à ce grand écran. Qui ressurgit au hasard d’une musique ou d’une image de ses grandes avenues. Ces images que l’on porte en nous, si famillières et si inconnues.

    S’il ne devait rester qu’un seul mythe, donc, il s’agirait bien de celui-ci : le rêve américain.

    Olivier Levy

  • Arctic : un avantage compétitif pour les marchands Shopping Flux

    Arctic, nous vous en parlions pour la première fois en Avril 2014.

    Après donc une année de développement, Arctic sort enfin de sa version beta, et est maintenant disponible pour l’ensemble des marchands Shopping Flux.

     

    « Qu’est-ce que Arctic ? »

    Arctic est la dernière innovation Shopping Flux, et se propose de simplifier la résolution des erreurs Places de Marché (par exemple, si l’erreur se trouve sur un de vos codes EAN qui ne possèderait pas le bon nombre de caractères).

    Pour la première fois dans un logiciel de Gestion de Places de Marché, les Ecommerçants seront accompagnés dans la compréhensions des erreurs remontées par les Places de Marché et cela par 2 moyens complémentaires :

    1. d’abord, plus de 2.000 erreurs possibles ont été répertoriées et reformulées dans des termes plus accessibles.
    2. puis, la création d’un algorithme, Arctic, qui reconnaîtra automatiquement le champ de votre flux source qui pose problème, et vous en affichera toutes les étapes de sa transformation.

     

    « En quoi Arctic va-t-il m’aider à vendre plus ? »

    Parce que chez Shopping Flux, depuis le Jour 1, nous croyons qu’il ne suffit pas de « pousser » les produits sur les Places de Marché pour atteindre un véritable succès.

    Au contraire : un gestionnaire de flux intelligent se doit d’aller plus loin, par exemple en vous assistant dans le matching de vos attributs Places de Marché, afin de gagner en visibilité (d’où notre innovation d’il y a 3 ans déjà, AutoTag MarketPlaces).

    Avec Arctic, nous vous proposons pour la première fois une interface intelligente de résolution de vos erreurs Places de Marché. Une interface en plus très intuitive, qui vous incitera à y passer un peu de votre temps.

    Plus vous erreurs seront simples à résoudre, plus vous serez enclin à y consacrer de votre temps, et donc plus vous vous rapprocherez d’un taux de diffusion de 100% de votre catalogue sur ces plateformes de ventes. Si, grâce à l’interface Arctic, vous arrivez à diffuser un produit que vos concurrents n’arrivent pas, vous bénéficierez d’un avantage compétitif.

     

    « Arctic est-il une option payante ? »

    Non. Elle est offert gratuitement à tous nos marchands, et est traduite (peu à peu) dans 5 langues différentes (français, anglais, espagnol, italien et portugais/brésilien).

     

    « Puis-je voir à quoi ressemble l’interface Arctic ? »

    Bien sûr, voici une copie d’écran de Arctic, avec une explication en 2 étapes (cliquez ici si vous ne voyez pas l’image) :

     

    Innovation Shopping Flux

    Comme vous pouvez le constater, nous avons fait un travail d’ergonomie pour rendre Arctic intuitif dans son utilisation.

    Notre ambition est de rendre le quotidien des marchands plus simple et efficace. L’avenir montrera que Arctic est une innovation efficace pour atteindre cet objectif.

    Bonnes ventes à tous les Ecommerçants.

    PS : vous pouvez demander une démo de Shopping Flux en suivant ce lien. Remplissez le formulaire afin qu’un de notre équipe vos propose un rendez-vous téléphonique (et recevez par la même occasion le Livre Blanc Shopping Flux).

     

     

  • La Place de Marché de Spartoo ouvre 7 pays avec Shopping Flux

    La Place de Marché de Spartoo ouvre 7 pays avec Shopping Flux

     

    Spartoo et Shopping Flux

     

    Shopping Flux accompagnait déjà les ecommerçants dans leur diffusion chez Spartoo en France, au Portugal, Suède, Finlande, Danemark, Grèce et aux Pays-Bas.

    Aujourd’hui, Spartoo et Shopping Flux étendent leur partenariat. 7 nouveaux pays viennent en effet s’ajouter à cette liste : l’Allemagne, la Pologne, la République Tchèque, le Royaume Uni, l’Italie et l’Espagne.
    Toujours grâce à un partenariat efficace, Spartoo offre à présent aux ecommerçants désireux de publier leur catalogue sur sa place de marché France : 3 mois d’abonnement, soit une économie négociée pour vous de 117€.

     

    Marie Bonvallet-Bénaben – Marketplace Manager chez Spartoo :

    Spartoo a ouvert sa marketplace mode en janvier 2014 en France ainsi que dans 12 pays d’Europe. Plus de 330 e-commerçants nous font déjà confiance et diffusent leurs catalogues sur les sites de  Spartoo.

    Notre stratégie a été de démarrer par le pays natif des e-commerçants pour apprendre à  les connaitre et vérifier le bon respect des critères de qualité.

    Ces étapes validées, nous souhaitons aujourd’hui donner l’opportunité à nos partenaires d’aller trouver de nouveaux relais de croissance en ouvrant d’autres pays.

     

    Shopping Flux est un partenaire privilégié de Spartoo depuis le lancement de notre marketplace et qui chaque jour accompagne avec efficacité et réactivité nos marchands.

    Nous sommes très heureux de pouvoir grâce à Shopping Flux et sa technologie Autotag proposer l’ouverture de nouveaux marchés à nos partenaires qui souhaitent développer l’international.

    L’équipe de Spartoo répondra à vos demandes et questions à l’adresse marketplacefr@spartoo.com

     

    Quelques chiffres sur Spartoo

     

    • Présent dans 20 pays et des ouvertures prochaines en Turquie et en Chine.
    • Un réseau physique en développement: 10 magasins ouverts d’ici fin 2015
    • Plus de 2000 marques et 50.000 modèles
    • Un chiffre d’affaires de plus de 140 millions € en 2014
    • 2,5 millions de colis expédiés par an
    • 30 000 m2 d’entrepôt avec 1 million de chaussures en stock
    • 200 collaborateurs dont un service e-marketing dédié de 30 personnes
    • Apport des investisseurs de 25 millions d’euros.

     

     

    Cliquez sur le lien suivant pour vous inscrire à Spartoo
    Cliquez sur le lien suivant si vous n’avez pas encore de compte Shopping Flux

     

    [Tweet « Ecommerçants et Europe : @shoppingflux et @Spartoo étendent leur partenariat sur 7 pays. »]

  • [Olivier Levy] – Reflexion sur les logiciels pour Ecommerçants et leur utilisation

    [Olivier Levy] – Reflexion sur les logiciels pour Ecommerçants et leur utilisation

    Il faut l’avouer : on leur en demande beaucoup à nos marchands.

    « T’as une boutique physique ? Pas le choix maintenant, il te faut un site en ligne. »

    « Maintenant que tu as ton site en ligne, pense à ton SEO, ton Adwords et ton nouveau design. Et les Places de Marché ? Tu connais ? »

    Alors, tel les jeunes parents qui, d’un coup, doivent gérer des triplés, il jongle notre marchand. Il jongle.

    (source Hachette Edition)

     

    En effet, il jongle avec  (inspirez, prenez votre souffle) :

    son logiciel Ecommerce (PrestaShop, Magento, Wizishop, PowerBoutique…), son Outlook/Gmail, son compte Adwords, son compte Google Analytics, son Gestionnaire de Flux, son logiciel d’emailing, son Twitter, son Facebook,

    (on reprend son souffle…)

    son logiciel multi-convertions (oui, on ne sait pas ce que c’est, mais ça doit bien exister), son interface d’affiliation, son logiciel de suivi de prix, son logiciel de suivi de Likes Facebook, de suivi de followers Twitter, de suivi de backlinks, de suivi de positions sur Google, de suivi de suivi, son interface d’agrégation d’interfaces, son logiciel de gestion de logiciels, son compte de gestion de comptes, son logiciel de gestion de gestion, … … … et surtout, celui qu’il ne faut surtout pas oublier sans quoi cette liste à la Prévert ne serait complète : son-compte-de-logiciel-pour-avoir-accès-à-l’interface-de-son-compte-de-gestion-de-logiciel-pour-faire-son-suivi-de-gestion-parce-que-sans-ça-t’es-pas-un-vrai-ecommerçant-et-donc-tu-te-devras-de-culpabiliser… … … …

    Voilà, donc, avec quoi doit jongler un Ecommerçant en 2015.

    Il les maîtrise tous, ces outils, le Ecommerçant. Que l’interface soit simple, facile à prendre en main ou pas. Il s’en fou, lui, le marchand. Il les maîtrise toutes ces interfaces.

    Ou pas, d’ailleurs. Mais ça, le marchand, il s’en cogne … Car là n’est pas le problème : tel ce jeune couple de parents avec des triplés, il n’a pas d’autre choix que de gérer.

    Ton interface qui va l’aider à faire mieux son job tous les jours ? Bravo. Mais il s’en cogne. C’est comme pour ces jeunes parents, lorsque Enfant n°2 vient pleurer parce que Enfant n°1 lui a piqué le jouet que vous aviez acheté pour Enfant n°3 : ils vont gérer/jongler/se démerder, bien sûr. Mais, en vrai, ils s’en cognent. Ils s’en cognent de « à qui est le jouet et qui l’a piqué à qui« . Faut juste gérer…

    Et ben, le marchand, c’est comme ces jeunes parents : ton interface, il s’en cogne gère.

     

    Maturité, ou le ras-le-bol du marchand

     

    Maturité, en fait, c’est une façon polie de dire que, notre marchand, il en a marre. A la base, il voulait juste ouvrir un bouclard dans le quartier de son enfance et avoir une présence nationale via un site Ecommerce. C’est tout. Et maintenant, il a envie qu’on le lâche…

    « Ecoutez les gamins, vous avez 18 ans maintenant, alors vous vous démerdez ! Demande à tes frères ! T’en a 2 ! Maman et Papa ça fait 18 ans qu’ils gèrent s’en cognent. »

    Le Ecommerçant, donc, il sélectionne, il élague. Pas le choix, il manque de temps. Il fera un choix entre les logiciels qu’il ouvrira tous les jours, et, les autres, qu’il n’ouvrira qu’une fois par mois.

    Et, il ne pourra en consulter que 5, maximum, de façon journalière.

    N°1 : Son logiciel Ecommerce (PrestaShop, Magento, etc.). Pas le choix. Faut s’y connecter tous les jours.

    N°2 : Son Outlook/Gmail. Obligé de s’y connecter aussi tous les jours.

    N°3 : Son Adwords ? idem. Même si le marchand n’y comprend plus grand chose, il surveillera les lignes « Dépenses » et « Nombre de Ventes ». C’est tout… (et quand une agence l’appellera pour la 4ème fois pour lui dire que son Adwords peut sûrement être amélioré, le marchand répondra « Vous inquiétez pas, tout va bien dans mon Adwords, mais merci de votre proposition. Après toutes ces années, mon Adwords je m’en cogne gère. »

     

    Donc, ça fait déjà 3 interfaces à ouvrir dans tous les cas tous les jours. Reste donc une place, ou deux grand maximum.

    N°4 : Son Google Analytics ?  Oui. Il va s’y connecter tous les jours quand-même : il veut savoir tous les jours son nombre de visites.

    Son logiciel d’emailing ? Non. « J’ai fais un emailing Noël dernier, ça va…. »

    Son logiciel de suivi de positionnement sur Google ? « Oui je sais, les positions sur Google ça change tous les jours. C’est justement pour ça que je regarde pas tous les jours… De toutes façons je sais, je suis pas assez haut dans Google. Tu sais quoi ? Je m’en cogne gère. »

    Reste donc 1 place, max.

    Arrive donc son outil de gestion de flux et des Places de Marché.

    Et il semblerait que le marchand, blasé, vaincu du fait de l’importance des flux, ait accepté, comme un état de fait que, oui, il va devoir se connecter encore à une interface de plus tous les jours. L’avenir d’un Ecommerce se trouve dans ses flux.

    Donc voilà les 5 interfaces utilisées quotidiennement par un marchands.

     

    5 Interfaces au quotidien. Peut-on réduire ce chiffre ?

     

    Pour régler ce problème d’overdose d’interfaces, il existe le rêve : celui de l’outil tout en 1. On appelle cela une « suite de logiciels qui fait tout, même gérer tes triplés« .

    Ou, encore, celui de l’outil qui regrouperait, au sein d’une unique interface, tous les autres logiciels utilisés. Beaucoup d’outils se sont proposés de jouer ce rôle, en vain.

    Pourtant, nous pensons chez Shopping Flux, que nous nous devons quand-même tenter de réduire ce nombre de 5 interfaces journalières.

    Car nous croyons qu’il faudrait que les marchands, devenus E-marchands, passent plus de temps à faire leur métier, c’est-à-dire, acheter, et moins de temps devant leur écran d’ordinateur, à faire des paramétrages.

    Il leur faudra sortir du piège dans lequel les start-up et autres nouvelles tendances de l’Ecommerce les ont amenés: encore un logiciel avec de belles interfaces, mais qu’il faudra gérer.

    On est en 2015, bon sang. Tout le monde s’est lancé dans sa start-up à destination des Ecommerçants et le Ecommerçant, il culpabilise, à tord, de ne pas toutes les maîtriser ou les utiliser.

    La route vers l’overdose.

    Ainsi, même si notre logiciel Shopping Flux a l’énorme chance de faire partie de cette fameuse liste des « 5 logiciels pour Ecommerçants à ouvrir tous les jours« , notre mission est d’aider les marchands à passer moins de temps devant leur ordinateur.

    L’innovation est l’itération vers une vision. Et notre vision nous dit que le Ecommerçant en a assez d’être toute la journée devant son écran : il doit, au contraire, se retourner et passer du temps avec ses fournisseurs, sa logistique, chercher de nouveaux produits à vendre, de nouvelles opportunités d’achats, etc…

    S’il recrute, il ne doit pas avoir besoin de recruter pour sa partie Web, mais plutôt pour sa partie « achat », « recherche de nouveaux produits/marchés ».

    Et puis une fois que son boulot d’Ecommerçant terminé, il rentre s’occuper de 3 gamins. Terminé.

    Là est notre croyance.

    Ainsi, après 1 an de travail au sein de notre équipe, une nouvelle version de Shopping Flux arrive et elle se nomme V2-S.

    Une nouvelle interface tellement efficace, que vous découvrirez que, dans un futur proche, il vous sera possible de paramétrer votre Shopping Flux directement depuis votre iPhone.

    Directement depuis votre iPhone, oui, afin de gagner en productivité, et de passer moins de temps devant vos écrans.

    Nous espérons ainsi permettre aux E-marchands de redevenir Marchands.

    [Tweet « Le gestionnaire de flux du futur sera paramétrable via un iPhone. via @shoppingflux »]

    La première étape de V2-S sera déployée à partir de Lundi chez nos clients, et une vidéo sera disponible sur notre compte twitter.

    Bonnes ventes à tous les Ecommerçants : nous existons pour vous aider.

  • Shopping Flux lance « PLA Booster »

    Shopping Flux lance « PLA Booster »

    C’est grâce à ses innovations continues que Shopping Flux s’est imposé parmi les logiciels majeurs dans le milieu de la gestion de flux.

    Les innovations sont la raison d’exister du logiciel, depuis le Jour 1. Et, plus de 4 années plus tard, l’image de Shopping Flux est toujours la même : un logiciel dont les clients bénéficient de fonctionnalités inédites.

    Shopping Flux lance « PLA Booster » et propose de booster votre Google Shopping grâce à vos Places de Marché

    PLA Booster

    PLA Booster est une solution inédite qui permet aux Ecommerçants d’augmenter en temps réel leurs enchères sur Google Product Listing Ads (plus connu sous le nom de Google Shopping) lorsqu’un produit surperforme sur les Places de Marché (type Amazon, eBay ou encore PriceMinister) ou sur un Comparateur de Prix (type LeGuide.com, voire Google Shopping lui-même).

     

    L’équipe R&D souhaite ainsi, pour la première fois, offrir aux marchands la possibilité de créer des ponts entre leur flux.

    Voici quelques exemples de possibilités offertes par PLA Booster :

    1. Augmentez vos enchères Google Shopping si un produit surperforme sur Amazon.

    2. Baissez vos enchères sur les produits qui se vendent le moins sur l’ensemble de la plateforme Shopping Flux.

    3. Ou encore, augmentez vos enchères si le stock d’un produit ne baisse pas assez vite.

    La solution a été poussée pour qu’il vous soit techniquement possible de créer des règles d’enchères sur n’importe quel des champs disponibles au sein de votre flux source.

    Pour la première fois au monde, un gestionnaire de flux, propose de faire communiquer ensemble deux canaux webmarketing distincts.

    Déjà utilisé par certains clients ou agences, le système a prouvé très rapidement son efficacité.

    [Tweet « Avec PLA Booster, @shoppingflux fait entrer ses clients dans le futur de la gestion de flux »]

    Un futur qui imposera forcément que les flux s’échangent des données entre eux, afin d’en améliorer la performance de chacun.

    PLA Booster a été déployé il y a 15 jours sur l’ensemble des licences Shopping Flux : vous pouvez donc dès maintenant l’utiliser.

    Ce nouveau produit est une option facturée 50€ en plus du prix de la licence, et est annoncé comme gratuit à l’ensemble des 1400 clients actuels de la société.

    Bonnes ventes à tous les Ecommerçants.

    (testez Shopping Flux gratuitement et sans engagement pendant 1 mois)

     

  • En avant première lors du PrestaShop Day (le 11 Juin)

    En avant première lors du PrestaShop Day (le 11 Juin)

    L’équipe Shopping Flux distribuera en avant première lors du PrestaShop Day (le 11 Juin) la seconde édition de son Livre Blanc « 12 mois pour réussir sur les Places de Marché »

    En avant première lors du PrestaShop Day

    1.000 exemplaires imprimés seront distribués dans les sacs qui vont seront remis à l’entrée par les équipes PrestaShop.
    PrestaShop_Day
     

    Ce Livre Blanc de 60 pages contient toutes les informations, astuces, conseils et bonnes pratiques pour réussir sur les Places de Marché et les Comparateurs de Prix.

    Vous y trouverez aussi des conseils de la part de grands acteurs, comme LaRedoute, Rue du Commerce, CDiscount, Sonuts, etc.

    Pour vous inscrire au PrestaShop Day, il vous suffit de suivre
    ce lien (cliquez ici).

    Bon PrestaShop Day à tous les Ecommerçants.

     

     

     

  • [Infographie] 8 Réflexes au Quotidien pour vos Flux

    [Infographie] 8 Réflexes au Quotidien pour vos Flux

    [Infographie] 8 Réflexes au Quotidien pour vos Flux

    Voici une nouvelle infographie créée par l’équipe Shopping Flux.

    L’idée de cette infographie (au format A4 afin que vous puissiez l’imprimer) est de vous présenter, en une seule page et de manière assez succincte, 8 bons réflexes à adopter au quotidien pour la gestion de vos Comparateurs de Prix et Places de Marché.

    Afin de dresser cette liste, nous nous sommes appuyés sur une sélection parmi les demandes de conseils les plus souvent demandées part de nos clients.

    Merci de la part de l’équipe pour vos partages auprès de votre réseau, et nous vous souhaitons une très bonne lecture.

    Infographie Shopping Flux

  • Shopping Flux accueille 4 nouvelles Places de Marché

    Shopping Flux accueille 4 nouvelles Places de Marché

    4 nouvelles Places de Marché ont été ajoutées au sein de Shopping Flux ces 4 derniers mois : GoSport MarketPlace (ajoutée il y a une semaine), Nature et Découvertes, Spartoo et MisterGoodDeal.

    Shopping Flux Spartoo Place de Marché

    Notre équipe est ravie d’accueillir ces 4 nouveaux partenaires.

    « Qu’apporte chacune de ces Places de Marché ? »

    Comme toutes les Places de Marché, elles ont leur notoriété, leur fichier clients, leur image et leur trafic. Elles vous permettront donc de toucher une nouvelle cible de cyber-acheteurs.

    A vous de décider lesquelles se rapprochent le plus de votre marché, puis de les contacter pour demander une ouverture d’un compte vendeur (les coordonnées pour les demandes sont disponibles au sein de l’interface Shopping Flux).

    « Les commandes vont-elles remonter dans mon Ecommerce ? »

    Si vous êtes déjà client Shopping Flux, bien sûr, et vous n’avez rien à faire.

    Pour les marchands n’étant pas encore utilisateurs de Shopping Flux et qui souhaiteraient tester la solution (gratuitement et pendant 1 mois), voici des liens vers nos modules à installer pour PrestaShop et Magento.

    Si vous êtes sur Dédiservices, Wizishop, Thélia ou PowerBoutique, votre Conseiller Technique sur ces plateformes pourra vous indiquer la procédure pour tester Shopping Flux sur votre Ecommerce.

    Faites aussi une demande sur le formulaire sur notre site web : www.shopping-flux.com.

     

    « AutoTag MarketPlace est-il déjà en place sur ces nouvelles Places de Marché ? »

    AutoTag MarketPlace

    Tout à fait.

    AutoTag MarketPlace est une exclusivité Shopping Flux déployée maintenant depuis plusieurs années et qui permet aux marchands Shopping Flux de surpasser leurs concurrents au sein d’une même Place de Marché, grâce à un taggage plus fin des attributs.

    Plus de 70.000 attributs sont recensés et classés au sein de la bibliothèque AutoTag.

    Ces 4 nouvelles Places de Marché ont été connectées aussi à AutoTag, et vous pourrez le constater lors de l’ouverture de ces dernières.

    Par contre, le nombre de tags évolue au quotidien pour ces nouvelles Places de Marché du fait de leur jeune âge. Il vous faudra donc parfois revenir sur des attributs historiquement taggués par le logiciel (l’interface vous préviendra en cas de changement).

    C’est aussi une des forces de notre technologie AutoTag : pourvoir évoluer en fonction des nouveaux attributs de nos partenaires.

     

    « Le prix de ma licence Shopping Flux va-t-il augmenter ? »

    Tout dépend sur quel pack vous êtes actuellement. Si vous êtes sur le « Pack Illimité » de Shopping Flux, vous ne constaterez aucune hausse de votre abonnement Shopping Flux. Dans le cas contraire, l’interface vous préviendra.

    Notez que les prix des licences Shopping Flux seront amenés à augmenter début 2015, mais uniquement pour les clients diffusant sur beaucoup de Places de Marché.

    En effet, le nombre de Places de Marché va plus que doubler en 2015, et s’il nous est facile de proposer chaque mois de nouveaux Comparateurs de Prix, pour les Places de Marché il en est autrement.
    Nous évaluons entre 20.000 et 50.000 euro de dépenses pour l’ajout d’une seule Place de Marché au sein de la solution (et pour vous donner un ordre d’idée, ce budget est de moins de 1.000 euro pour l’ajout d’un Comparateur de Prix….).

    Il y aura toujours une offre « 100% illimitée » puisque cette offre plait beaucoup à nos clients, mais sûrement un peu plus élevée.

     

    « Combien de Places de Marché propose maintenant Shopping Flux et pour quels pays ? »

    Ce sont pas moins de 25 Places de Marché partenaires de Shopping Flux, le tout dans 6 langues différentes pour les plus internationales d’entres-elles (Amazon, eBay Spartoo, etc…)

    Voici la liste des principales en plus des 4 que nous venons d’ajouter ces derniers mois : Amazon – LaRedoute – Ebay – CDiscount – RueDuCommerce, Monechelle.com, Fnac MarketPlace – GodSaveTheKids – GaleriesLafayette – PixMania – Jardinermalin – PlaceDuMariage – etc.

    Toutes ces Places de Marché sont proposées avec la remontée des commandes + AutoTag MarketPlace.

    Bonnes ventes à tous les Ecommerçants et voici un lien pour tester 1 mois sans engagement Shopping Flux.

  • Nouveau : Shopping Flux lance « Smart Pricing MarketPlace »

    Nouveau : Shopping Flux lance « Smart Pricing MarketPlace »

    Shopping Flux Labs

    Une nouvelle fonctionnalité a été déployée depuis quelques jours au sein des Back-Office des clients Shopping Flux : « Smart Pricing MarketPlace »

    Issue du département R&D Shopping Flux, 5 clients ont participé à l’amélioration de la version beta.

    Smart Pricing MarketPlace

    « Qu’est-ce que Smart Pricing MarketPlace » ?

    Smart Pricing MarketPlace aide nos marchands à proposer en temps réel le bon prix sur les Places de Marché partenaires de l’outil. A date, Amazon (tous les pays), FNAC, PriceMinister et CLeMarché (la Place de Marché de CDiscount) sont les premiers partenaires.

    Pour vous présenter ce nouvel outil, nous avons réuni ici les questions les plus fréquentes.

     

    « Rechercher à chaque fois la baisse de des prix va rogner nos marges »

    Dans le cas de Smart Pricing MarketPlace, le « bon prix » ne signifie pas « être le moins cher« , car l’outil développé par l’équipe Shopping Flux intègre 2 notions supplémentaires :

    1. La disponibilité du produits chez les marchands concurrents : Smart Pricing MarketPlace positionnera automatiquement vos produits à 1 centime en-dessous du prix du concurrent le moins cher et ayant à l’instant T le produit en stock. Dès que le marchand en question n’aura plus le produit en stock, Smart Pricing MarketPlace augmentera le prix jusqu’à se placer 1 centime en-dessous du concurrent suivant avec du stock.
    L’idée est de maximiser en temps réel la marge de nos marchands.

    2. La seconde notion prise en compte par l’algorithme est la « réputation » du marchand concurrent.
    Par exemple sur Amazon, avec leur célèbre BuyBox, qui permet à certains produits de certains marchands d’être achetés avec le système « Buy with 1-clic« . Smart Pricing MarketPlace va baisser votre prix de vente à 1 centime en dessous de marchand Amazon avec la BuyBox, et non pas le moins cher. L’objectif est d’aller « chercher » la BuyBox sur un maximum de votre catalogue produits sur Amazon, car un même produit, à prix égal, se vendra entre 2 à 3 fois plus si Amazon lui attribue la BuyBox.

     

    « Puis-je limiter la baisse de mes prix en fonction de ma marge ou d’autres critères ? »

    Bien sûr. Chaque critère que vous enverrez dans votre flux source à Shopping Flux (marge, prix d’achat, marque, prix minimum, etc.) pourra servir de paramétrage.
    Cette fonctionnalité est déjà disponible, et est en cours d’amélioration suite aux retours et demandes des premiers beta-testeurs.

     

    « Smart Pricing MarketPlace est-il un supplément à ma licence ? »

    L’ajout de cette fonctionnalité augmentera de 99€/mois votre facture Shopping Flux. Elle est sans engagement de durée, tout comme l’ensemble du logiciel.

    L’activation de cette nouveauté a fortement augmenté les volumes de ventes de nos  beta-testeurs, et nous sommes confiants sur le fait que vous confirmerez très vite la plus-value de cette fonctionnalité.

     

    « Pourquoi seules quelques Places de Marché sont-elle partenaires de Smart Pricing MarketPlace ? »

    Smart Pricing MarketPlace se connecte aux API/WebServices-Pricing des Places de Marché. Or, toutes ne proposent pas à date des telles API.

    Nous travaillons actuellement de concert avec certaines Places de Marché pour les aider à développer des telles connexions, donc la liste des Places de Marché partenaires est amenée à grandir.
    Au même titre, Smart Pricing MarketPlace n’a pas pour objectif de scanner les prix des sites de vos concurrents, car il ne s’agit nullement d’un outil de crawl, mais bien, encore une fois, de connexions aux API-Pricing des Places de Marché. Pour surveiller les prix de vos concurrents à l’extérieur des Places de Marché, nous vous conseillons Pricing Assistant, dont la technologie est très avancée.

     

    « Les API-Pricing des Places de Marché sont-elles vraiment utilisées par les marchands ? »

    Pour quelques Places de Marché, ces API sont nouvelles, donc des activités de re-pricing, même en temps réel, sont bien présentes, sans pour autant être très importantes. En gros, une fois que nos marchands se sont positionnés sur le prix le plus bas en fonction de leurs critères, nous ne constatons plus trop de mouvements.
    Par contre, si on se focalise sur l’API-Pricing de Amazon, l’activité y est impressionnante : ce sont plusieurs millions de re-pricings effectués via leur API chaque jour au niveau monde. Ce qui nous fait dire que, bien qu’encore peu développée en France, l’automatisation du positionnement prix en temps réel semble au contraire une stratégie bien en place chez de nombreux marchands anglo-saxons.

     

    « Quelles stratégies conseille Shopping Flux avec un tel outil ? »

    Très efficace, il faut cependant faire très attention avec cet outil d’automatisation de positionnement prix.

    On le sait, le « cassage » de prix, bien qu’un outil marketing à part entière, restera toujours le marketing du pauvre.

    Nous avons donc souhaité éviter de focaliser Smart Pricing MarketPlace sur la baisse du prix, mais plutôt sur le bon prix. C’est à ce titre que nous avons inclus dès son lancement des notions de comparatifs de notoriété et disponibilités de stock de vos concurrents. Le système en temps réel permet aussi de réagir très vite dès qu’il est possible d’augmenter un prix.

    Il faut réaliser que le métier de Ecommerçant est un métier d’acheteurs et non pas de vendeurs (comme le dit très justement le PDG de VentePrivée.com). Des outils comme Adwords ou Shopping Flux, et maintenant Smart Pricing MarketPlace, vous feront vendre vos produits si vous avez le choix, la qualité et le bon prix. La complexité se trouve au niveau de l’achat, moins de la vente.
    Pour preuve, et si nous prenons le cas Amazon, dès que vous activerez Smart Pricing MarketPlace sur vos produits qui ont la BuyBox, vous gagnerez automatiquement 100% du « marché » de ce produit sur Amazon (si votre limite basse d’alignement prix est en-dessous du prix minimum des autres marchands avec BuyBox).

    Donc si on extrapole : Amazon étant l’Ecommerce n°1 en France, si vous êtes le « bénéficiaire » d’une BuyBox sur un produit dont vous êtes le moins chers, il y a de fortes chances que vous soyez parmi les emarchands qui en vende le plus en France. Donc théoriquement, et toutes choses égales par ailleurs,  vous devenez sûrement en position de force pour négocier vos prix d’achat à la baisse auprès du fournisseur de ce produit.
    La bonne nouvelle, c’est qu’ainsi vous gagnerez en marge aussi sur les ventes générées depuis votre site Ecommerce en direct et les autres Places de Marché.

    C’est une stratégie en 2 temps : vous prenez le marché sur un produit, quitte à perdre en marge pendant un certain temps, puis regagnez votre marge en négociant sur une plus large quantité lors de vos achats.

    Rien de facile, mais là est bien au final la véritable valeur ajoutée d’un Ecommerçant : l’achat au bon prix, Internet et ses outils « assureront » ensuite la vente.

    « Quelles sont les nouveautés à venir sur Smart Pricing MarketPlace ?

    Nos beta-testeurs nous ont déjà remonté quelques améliorations et suggestions. Et il y en a une en particulier qui nous tient à cœur : la possibilité de placer automatiquement le prix d’un produit 1 centime au-dessous du second marchand le moins cher (et non le moins cher), le temps que le premier écoule son stock sur ce produit (par exemple, s’il n’en a que 2 ou 3 en stock), pour ensuite devenir effectivement le moins cher, mais avec plus de marge.
    Avec en plus, la possibilité, si on se rend compte que le marchand le moins cher s’est en fait ré-approvisionné sur ce produit, de se positionner finalement sur celui-ci.

    L’idée derrière cette stratégie est de laisser un concurrent plus agressif sur un prix, mais avec peu de stocks, écouler définitivement ce produit (par exemple lors d’un déstockage), pour ensuite n’être sur le long terme en compétition qu’avec un marchand plus cher, et ainsi augmenter le prix public d’un produit.

    Là encore, notre ambition est de proposer un outil intelligent, qui ne se focalise pas uniquement sur un algorithme de baisse des prix.

    Grâce à cela, presque 30% des ajustements de prix de l’outil sont en fait des augmentations de prix.

     

     

    Shopping Flux Labs

     

    C’est ainsi que Smart Pricing MarketPlace espère faire gagner en volume, mais aussi en marge, les ventes de ses marchands : l’automatisation leur donne de toute façon un avantage compétitif immédiat.

    Après CatAuto, BuyLine, Lovely Ads et AutoTag MarketPlace, Smart Pricing MarketPlace vient compléter la liste des innovations Shopping Flux.

    Liste qui s’étoffera grandement en 2015, nous vous en parlerons dans un prochain article.

    Bonnes ventes à tous les Ecommerçants.

  • Pour fêter son 1.000ème client, Shopping Flux s’offre une vidéo. A voir !

    Pour fêter son 1.000ème client, Shopping Flux s’offre une vidéo. A voir !

    1000 clients ! 1.000 Ecommerçants qui gagnent chaque jour en autonomie et en Chiffre d’Affaires sur les Comparateurs de Prix et les Places de Marché grâce à Shopping Flux et à sa team.

     

    L’innovation pour motivation

    4 années et une V2 plus tard, Shopping Flux et son équipe n’ont cessé de convaincre leurs Ecommerçants.

    Une croissance qui s’accélère un peu plus chaque mois, et un logiciel qui gagne en innovation et nouveautés chaque semaine (notre équipe R&D tient le rythme d’une mise en production par semaine depuis ces 2 dernières années).

    Pour fêter cela, il nous fallait bien un nouveau logo et une vidéo. Révélés lors de notre soirée barbecue et en avant première à nos clients, voici enfin la vidéo et le nouveau logo Shopping Flux.

     

    Demain, tout passera par des flux

    Merci à ceux qui nous font confiance depuis le début de l’aventure. Cette confiance nous permet de continuer à défricher ce nouveau monde au côté des Ecommerçants, et c’est passionnant.

    Pensez aux Places de Marché (toujours de plus en plus nombreuses), pensez aux objets connectés (votre prochain frigo, votre prochaine voiture, votre prochaine table de salon…), pensez à votre iPhone (qui un jour vous poussera des produits de la boutique devant laquelle vous venez de passer), pensez à votre TV connectées, pensez au panneau publicitaire devant lequel vous passez tous les matins, les Google Glass … Tous les écrans, demain, et peu importe leur forme, pousseront des produits.

    Et pour pousser des produits, il faudra des flux. Toujours des flux, encore plus de flux. Des flux d’une qualité toujours plus exigeante.

    Et là, et seulement à ce moment-là, l’Ecommerce se libérera de la mère créatrice « vente à distance sur Internet« , pour devenir ce pour quoi il a été créé : quitter enfin le stade de « commerce sur Internet » pour passer au stade de « commerce connecté à l’Internet« .

     

    Ce n’est que le début d’une nouvelle industrie

    Nous en sommes au jour 1 de la Gestion de Flux pour Ecommerçants. La Gestion de Flux sera le prochain gigantesque challenge du Ecommerce, et grâce à tous nos clients, même ce 1000ème arrivé en dernier et aux autres qui suivront, nous sommes autorisés à y apporter notre vision, nos innovations et notre énergie.

    Merci à tous les clients Shopping Flux. Merci à toute l’équipe. Merci à tous nos partenaires. C’est votre confiance en nous qui rend tout cela possible.

    Nous avons donner le max depuis le début. Et nous allons maintenant donner encore plus, parce que nous le pouvons. Les possibilités qui se trouvent devant nous et celles que nous apporterons à nos clients, sont sans limite.

    Merci à tous, de la part de l’équipe Shopping Flux.

    Merci.

    Et voici la fameuse vidéo :

    Shopping Flux